
Temps d’évangélisation le vendredi 23 juin 2023
Venez participer au temps d’évangélisation le vendredi 23 Juin 2023 à 16h30 avec le frère Camille BUVAL à l’église du François.
Venez participer au temps d’évangélisation le vendredi 23 Juin 2023 à 16h30 avec le frère Camille BUVAL à l’église du François.
« Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. » Mt18,20
Ce samedi 13 mai, toutes les conditions étaient réunies pour la récollection organisée par « Couples en chemin » en partenariat avec la « Pastorale familiale » au Sanctuaire de Balata.
Le sanctuaire tendait les bras, invitait à la contemplation. Le soleil était de la partie.
Les pèlerins du François ont été accueillis par le Père-Recteur Caleb-Yvon MIANTIASILA-TONTA.
La journée a débuté par la célébration de la messe a? 9h00, préparée et animée par le noyau de «Couples en chemin » ; animation chorale guidée par Evy, l’un des pèlerins. Ils ont tous chanté, laissé la puissance du Sacré Coeur agir en eux. En témoignage, les pèlerins et les paroissiens du Sacré Coeur présents, ont ressenti la communion avec le Sacré Coeur. Le Saint Esprit était là et à l’œuvre.
« Connaître, comprendre et vivre le Sacré Coeur » tel était le thème autour duquel ils ont échangé avec le père Yvon qui a été rejoint par le père Jan, curé de la paroisse du François.
Origine de la spiritualité du Sacré Coeur, diffusion de cette spiritualité, aperçu du Sacré Coeur de Balata, acceptation ou non de la mission, ont structuré cet échange.
Après l’échange, une visite a? la boutique du sanctuaire s’imposait. Puis un pot de l’amitié, pour clôturer ce moment ô combien important, instructif, riche en grâces selon leurs dires, a été partagé.
Vous êtes tous invités le mercredi 17 mai, à 17h à l’église du François, à visionner en famille le très veau film « Miracles du ciel« .
La séance sera suivie d’un temps d’échanges entre les familles et d’un enseignement du Père Laurent sur le thème « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu » (Jn 11,40)
La Pastorale des Familles
Tous les 29 du mois à l’église Saint Michel du François, les fidèles venus de différentes paroisses, méditent la Couronne Angélique, une salutation aux neuf Chœurs des Anges (les Séraphins, les Chérubins, les Trônes, les Dominations, les Puissances, les Vertus célestes, les Principautés, les Archanges et les Anges).
De quoi s’agit-il ?
Origine de la Couronne angélique ou Chapelet de Saint Michel Archange
Saint Michel apparaît en 1751 au Portugal à une illustre servante de Dieu toute dévouée à son culte, la bienheureuse Antonia d’Astonac, religieuse carmélite. « Je veux, lui dit saint Michel, que tu répètes neuf fois en mon honneur un Notre Père et trois Ave, en union avec chacun des neuf chœurs des Anges. Tu diras quatre Notre Père, dont le premier en mon honneur, le deuxième en l’honneur de saint Gabriel ; le troisième, de saint Raphaël ; et le dernier, de l’Ange gardien. »
Il promit, que quiconque lui rendrait ce culte aurait, en se rendant à la sainte Table, un cortège de neuf Anges choisis dans les neuf chœurs. De plus, pour la récitation quotidienne de ce chapelet, il promit son assistance et celle des Saints Anges durant tout le cours de la vie, et, après la mort, la délivrance du purgatoire pour soi et pour ses parents. Voilà ce qu’on trouve relaté dans la vie de la sainte, livre II°, chapitre 74. Saint Michel lui fait cette demande car il est celui que l’on surnomme le « Prince de la milice céleste », celui qui lutte avec les anges contre Satan et les forces du Mal. Il reçoit également l’aide de la Reine des Anges, la Très Sainte Vierge Marie. Il faudra cependant attendre un siècle pour que le pape Pie IX contribue à sa plus large diffusion, en 1851 : il reconnaît cette apparition privée, et associe à la récitation de cette prière la possibilité de recevoir une indulgence plénière.
Les initiatives pastorales
A l’initiative du Père Jacek OSSOWSKI, bien avant la pandémie de Covid-19, nous récitions à chaque messe, avant l’envoi, ce que l’on a coutume d’appeler la prière du Pape Léon XIII (1884) : « Saint Michel archange, défendez-nous dans le combat. Soyez notre secours contre la malice et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous le demandons en suppliant. Et vous, Prince de la Milice Céleste, envoyez en enfer, par la vertu divine, Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde pour la perte des âmes. Amen. »
Ce fut l’occasion pour l’ensemble des paroissiens de s’approprier cette prière, qui est récitée encore aujourd’hui.
Le vicaire, père Robert-Marie BEAUFOUR a, dès son arrivée sur la paroisse, souhaité voir honoré avec force (en dehors du 29 septembre) le chef des Archanges, dans notre paroisse, et au-delà.
Dans l’objectif de donner plus d’ampleur et de profondeur à la dévotion à Saint Michel, entouré de quelques paroissiens, il a instauré tous les 29 du mois : « le temps fort en l’honneur de saint Michel », ainsi que la messe du 1er mardi du mois en son honneur, selon une ancienne tradition de l’Eglise.
Avec l’arrivée de notre nouveau curé, le Père Jan MIELEWSKI le projet de sanctuarisation de l’église St Michel voit le jour et dans le même élan naît l’archiconfrérie de St Michel qui a pour mission de :
Fort de tout cela, prier notre saint Patron tous les 29 prend une dimension toute particulière avec la présence des prêtres, des religieuses, des membres de l’Archiconfrérie, des paroissiens du François et des pèlerins des autres paroisses.
L’adhésion à l’Archiconfrérie devient une démarche de grande piété permettant au chef de la Milice céleste d’étendre sa bannière et sa protection sur l’ensemble des fidèles de notre diocèse et au-delà.
Déroulement du temps fort de la Couronne angélique :
Deux librairies chrétiennes se tiennent sur le parvis de notre église pour proposer des objets de piété qui pourront être bénis à la fin du temps fort ainsi que des livres permettant de mieux connaître et prier St Michel Archange. L’idée du père Robert-Marie étant d’éviter que les fidèles catholiques ne se rendent et ne se perdent dans les librairies ésotériques qui proposent en apparence des articles de la piété catholique.
Quelques témoignages :
Maryse, paroissienne du François :
« C’est un temps particulier pour moi car chaque partie de la prière est importante depuis la couronne jusqu’à la bénédiction finale. L’exhortation du père vient toucher les cœurs et nous rejoindre dans notre vécu. »
Nathalie, paroissienne du Vauclin :
« La prière d’aujourd’hui m’a permis de me poser des questions sur ma place dans l’Eglise ; qu’est-ce que je fais ? Pour moi, c’est un appel à servir, donc je vais me mettre au service. »
Céline, paroissienne de Sainte-Marie :
« Ce fut une belle expérience pour moi que de découvrir un peu plus chaque mois saint Michel et les anges avec ces prières. Les petits « défis » m’ont appris à me soucier davantage de mon ange gardien que j’aimais bien solliciter uniquement quand j’en avais besoin. Désormais, j’aime à m’imaginer que je sers Dieu avec lui, et non plus lui qui sert Dieu en « me servant ».
Audrey, paroissienne du François :
« La prière communautaire de la couronne angélique me permet de mieux connaître et aimer les saints anges. J’ai reçu en particulier la grâce d’une plus grande intimité avec mon ange gardien. »
Si toi aussi tu désires participer à ce temps fort en l’honneur de Saint Michel Archange et des neuf Chœurs des Anges, n’hésites pas à consulter le site de la paroisse sur lequel tu trouveras les horaires des prochaines célébrations :
A vos agendas : Couronne angélique à l’église st Michel du François
Saint Michel Archange de ton épée, défends-nous !
Saint Michel Archange de ta lumière, éclaire-nous !
Saint Michel Archange de tes ailes, protège-nous !
Christian BOULANGER, membre de l’Archiconfrérie de Saint Michel
Les résidents du Centre Emma Ventura (C.E.V.) accompagnés de l’association Les Amis du Centre Emma Ventura partagent avec vous leur cheminement de l’entrée en Carême à la célébration de la fête de la Miséricorde divine.
Souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps, quelques jours avant l’entrée en Carême, Jean-François COMBE, le ministre des solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées n’avait pas eu la langue de bois pour qualifier les conditions d’accueil au centre Emma Ventura : « J’ai vu des conditions d’accueil indignes, pas du tout à la hauteur de nos attentes et de ce qu’on est en droit d’offrir aux résidents, mais aussi aux personnels en terme de qualité de vie au travail. » L’établissement qui accueille 20% des seniors de notre territoire doit renaître de ses cendres. Un projet de reconstruction est en cours moyennant des millions d’euros.
Et si la solution venait d’ailleurs ? Les yeux fixés sur Jésus Christ seul, les résidents et le personnel hospitalier du C.E.V. entraient en Carême, par l’imposition des cendres : « Convertissez-vous et croyez à l’Evangile ! » (Mc 1, 15) La reconstruction est en marche. Les pierres vivantes du C.E.V. sont résolues à faire « peau neuve » : « Mon père, c’est quand les confessions ? », « Mon père, venez me voir, j’ai besoin de vous parler ! » Comment penser la reconstruction sans conversion profonde du cœur ? Sans rencontres ? Sans écoute des aînés ? La démarche synodale à laquelle le pape François nous invite entre au C.E.V. Nous faisons route ensemble.
Au cours d’ateliers « mémoire » animés par les bénévoles Amis du C.E.V., nous sommes remontés dans le temps pour se remémorer toutes ces fêtes spirituelles « an tan lontan ». Et les voilà déjà, au terme des 5 semaines de Carême au Dimanche des Rameaux. « Les foules qui marchaient devant Jésus et celles qui suivaient criaient : Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! ». (Mt 21) Les résidents agitent leur rameau d’olivier durant le Sanctus. Prendre un rameau, c’est prendre la décision de sortir à la suite de Jésus, c’est une démarche libre, c’est un geste de croyant, un choix. Le garder bien en vue dans sa chambre, c’est décider d’ouvrir la porte à l’Évangile et d’accueillir Dieu par des gestes concrets à l’égard de ses frères et sœurs chaque jour. Le voici, Celui qui peut changer nos cœurs de pierre en cœurs de chair, Celui qui peut nous désaltérer de l’eau vive, Celui qui peut relever ce qui était mort, Celui qui peut nous relever de nos cendres, nous rendre notre dignité d’enfant de Dieu et faire de nous des pierres vivantes de son Eglise.
Le triduum pascal
Le Jeudi saint, les responsables de l’aumônerie avaient créé une ambiance paroissiale ; rien ne manquait : les fleurs, les chants et 12 volontaires (résidents, personnel, bénévoles) se prêtaient à la cérémonie du « lavement des pieds ». Le père Robert-Marie, notre aumônier depuis novembre dernier, prit tout son temps pour expliquer toute la symbolique du geste du lavement des pieds qui est un exemple pour que, comme le Christ l’a fait pour nous, nous le fassions pour nos frères et sœurs ; nous devons nous aimer les uns les autres. Puis, le père a pris le temps de remercier le personnel soignant, les bénévoles, pour tous les gestes du quotidien qui manifestent la charité du Christ.
Une résidente, Cécile, 95ans, qui égayent les homélies du père Robert-Marie par ses réponses pleines de foi, nous partage une de ses nombreuses compositions :
« Le Jeudi Saint, le jour des adieux,
Jésus nous laisse par ses apôtres,
Sa chair sacrée, son sang précieux
A partager entre nous autres
Afin que nous n’ayons ni faim
Afin que nous n’ayons ni soif
Afin que nous soyons nourris
Jusqu’à l’heure de son retour.
Son amour pour nous fut immense
Il s’est livré en sacrifice,
Son Sang versé en abondance,
A purifié notre malice.
Sur cette Croix qu’il a portée,
Jésus a souffert nos péchés.
En Lui nous sommes rachetés.
En mourant il nous a sauvé.
Le 3ème jour, Il ressuscite,
Le Seigneur, Fils du Roi de gloire.
Tous ses amis le félicitent,
Ils sont joyeux de sa victoire.
Son Paradis nous est ouvert,
C’est pour nous tous qu’il s’est offert.
Chantons, louons le Dieu vivant.
Rendons lui grâce infiniment.
Jésus, parti vers son Royaume,
Reviendra, bientôt sur la terre,
Afin de juger tous les hommes,
Conduire les justes auprès du Père.
Gardons nos âmes en prières,
Soyons tous prêts pour son retour.
Marchons toujours dans sa lumière
Et attendons-le, nuit et jour.
Aimons-nous les uns les autres,
Comme le veut notre grand frère.
Pardonnons-nous les uns les autres.
Soyons généreux entre frères.
Si nous aimons vraiment Jésus,
Prouvons le Lui en nous aimant.
Là où règne la charité,
Il demeure toujours présent.
Gloire éternelle à Dieu le Père !
A Jésus-Christ, Dieu, notre grand frère !
A l’Esprit Saint, l’amour infini !
A l’Adorable Trinité !
Au Dieu suprême majesté
A Toi l’amour, l’honneur, la joie.
Que tous les cœurs te magnifient,
Tout comme au ciel, Alléluia ! »
Cécile, 95ans, résidente du C.E.V.
Le vendredi saint, quelle surprise d’entendre dans les couloirs et dans les chambres ces chants mélodieux interprétés par la chorale « Chœur en portée » des Terres Sainville. Ils chantaient avec foi, avec Jésus dans leur cœur ; véritable symbiose, communion entre la chorale et les résidents. Véritable compassion des jeunes qui se penchaient vers les résidents pour leur parler en tenant leurs mains. Une rencontre intergénérationnelle où les plus jeunes découvrent le visage du Christ souffrant et sont enrichis de sa compassion, où les plus âgés touchent du bout des doigts l’espérance et l’avenir du pays. La croix devient plus légère à porter avec un Simon de Cyrène à ses côtés.
Et nous voilà au sommet de la Semaine Sainte, Alléluia ! Le Christ est vivant ! Le Dimanche de Pâques, dès 9h, les amis du C.E.V. et les animateurs étaient au rendez-vous pour accompagner les résidents revêtus de leurs plus beaux habits de cérémonie. La joie se lisait sur tous les visages ; une grande ferveur dans les prières et les chants animés par la chorale « Christ Roi », dirigée par Sylvie LEGROS. Nous étions si heureux ! Jésus est vivant ! Exultons de bonheur ! Crions de joie ! Amen ? Alléluia !
En la fête de la Divine Miséricorde, nous avons eu la joie de recevoir une icône du Christ Miséricordieux. Le père Robert-Marie nous a détaillé l’image pour mieux cueillir les fruits de Pâques. Oui, nous pouvons l’affirmer Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils bien-aimé et par ses blessures, son côté ouvert sur la Croix, Il nous guérit, Il nous sauve, Il nous relève de nos cendres pour une vie nouvelle. « Jésus t’aime ! »
Les pierres vivantes du centre Emma Ventura, l’équipe d’aumônerie et le père Robert-Marie vous souhaitent de joyeuses fêtes de Pâques !
Au cœur de ce Carême, le groupe de prière Espérance Missionnaire a choisi de vivre un temps de retraite au Morne Rouge. Une pause durant cette période propice au recueillement et à la conversion. Les membres ont pu faire un point sur leur foi à travers diverses activités : sport, relectures de vie, jeux, louanges sans oublier la Messe des Rameaux et de la Passion.
La rencontre avec Sœur Magdalena, moniale bénédictine du prieuré Sainte Marie des Anges du Carbet, a aussi été un des temps-forts de ce week-end. La communauté à laquelle elle appartient s’appuie essentiellement sur le travail manuel, intellectuel et la prière. L’oisiveté étant l’ennemi de l’âme.
Nous avons échangé avec sœur Magdalena sur la Lectio Divina, la lecture priante de la Bible. Pour elle, la recherche de Dieu doit être une recherche sereine de la vérité. Pour cela, lors de la lecture de la Bible, elle invite chacun à invoquer l’Esprit Saint pour avoir un cœur ouvert pour recevoir, à prendre le temps de laisser la parole agir dans le silence, afin de laisser Dieu toucher nos misères profondes. Nous prenons un chant à l’Esprit Saint et l’une d’entre nous prend la Bible avec respect, et proclame l’évangile. C’est une écoute amoureuse de la parole. La parole passe alors dans le cœur, comme l’encens qui se diffuse et porte une bonne odeur. Père Robert-Marie, notre accompagnateur, illustre cette étape avec la vache qui rumine, qui prend son temps. La parole divine pénètre alors notre intelligence, notre affectivité, tout notre être, notre cœur. On devient parole vivante. Sœur Magdalena joue les scènes, imagine les réactions des personnages, observe leur posture et les dialogues, dans l’optique de mieux se les approprier. Nous sommes émerveillés. On n’en revient pas, on a l’impression d’être dans la scène. Jésus est présent. Si nous vivons ces temps de lectio divina avec fidélité nous dit sœur Magdalena nous finirons par devenir des hommes et des femmes contemplatifs, qui vivent de la présence du Ressuscité. Nous avons terminé le partage d’évangile en mimant un chant sur la rencontre de la samaritaine avec Jésus. Nous nous sommes transmis l’eau vive. Un moment inoubliable !
Sœur Magdalena a ensuite partagé sa vision et son expérience de la vie communautaire, cloîtrée, avec beaucoup d’humour. Une vie avec beaucoup plus de similitudes qu’on ne le pense avec celle des chrétiens qui vivent dans le monde : de l’amour et des tensions comme dans toutes les familles, un besoin de pardon, de charité et de bienveillance à renouveler régulièrement. Et bien évidemment une place pour chacun selon les charismes que Dieu lui a donnés.
Sœur Magdalena encourage chacun à s’engager en Eglise, à faire un choix, quitte à en changer par la suite ! Une chose est sûre, sa joie de vivre a touché chaque membre du groupe Espérance Missionnaire comme en témoigne ces quelques retours.
Kevin : « Elle est charismatique. Quand quelqu’un vit avec l’Esprit-Saint, ça se ressent. »
Audrey : « Ça fait plaisir de voir quelqu’un qui a donné sa vie à Dieu heureux. »
Gladys : « Le peps de sœur Magdalena donne envie de se motiver pour vivre ces temps-là. J’ai beaucoup aimé quand elle a mis sa musique pour danser. Elle était presqu’en lévitation. »
Thomas : « Elle était heureuse. La Lectio Divina passe par tout : le chant, la danse, etc. »
Myriam : « Plusieurs fois quand je prenais la Bible, je ne comprenais rien. J’ai laissé tomber. Là, elle m’a donné envie de recommencer. »
Audrey : « Elle aborde la Bible avec simplicité, sans chercher à tout intellectualiser. »
Accompagné du Père Robert-Marie BEAUFOUR, au cours du pique-nique, nous avons pu échanger sur divers sujets notamment la vocation un point sensible pour certains ; les idoles, les études bibliques et théologiques, le salut des non chrétiens. Nous avons également accueilli un frère de la paroisse du François qui nous a étonné pour sa passion pour les Pères de l’Eglise. Nous avons visité l’hôtellerie du monastère car nous projetons de venir y passer un week-end. Ce sera la prochaine étape de notre cheminement.
« Sur les routes de l’alliance, ta lumière nous conduit, nous marchons pleins d’espérance, tu nous mènes vers la vie, tu nous mènes vers la vie… »
« Avance en eau profonde, avance dans mon cœur, avance en eau profonde, je suis ton seul Seigneur. »
Enfin, au cours d’une marche, le père Robert-Marie nous a proposé un jeu de confiance, les yeux bandés pour nous apprendre à nous abandonner sereinement au dessein de Dieu car ce n’est pas un esprit de peur qui nous anime mais l’Esprit Saint qui est paix, joie, amour.
Le groupe a passé un excellent moment au monastère, véritable havre de paix et de ressourcement. Les moniales bénédictines ont elles aussi apprécié notre temps de louange. Une visitation qui sans aucun doute était un appel de l’Esprit. Et nos cœurs étaient tout brûlants…
Qui sommes-nous ?
Né au Carême 2017, Espérance Missionnaire est un groupe de jeunes chrétiens cherchant à se rapprocher du Christ à travers des rencontres mensuelles.
Nous aimons rire, louer le Seigneur et les temps fraternels.
Tu veux en savoir davantage ? N’hésite pas à nous envoyer un message au 0696 11 30 01.
Espérance Missionnaire vous souhaite de joyeuses fêtes de Pâques !
Prière, ressourcement, entraide, partage, joie, convivialité… Quelques mots pour qualifier la journée de récollection à Notre Dame de la Salette à Sainte-Anne.
C’est le vendredi 11 novembre 2022 que ce sont réunis plus de soixante paroissiens à l’église de Sainte-Anne.
Une récollection proposée par le vicaire de la paroisse, le Père Robert Marie et chapeautée par « Couples en chemin » et « la Pastorale familiale ».
Nous avons d’abord vécu la messe à 9 heures avec une homélie axée sur l’histoire de Saint-Martin, fête du Saint oblige. En effet, l’Eglise le met à l’honneur le 11 novembre. Il fut évêque de Tours. Il est mort en 397.
Pour la petite histoire:
« Un soir d’hiver glacial, alors qu’il était un tout jeune soldat de l’empire romain, il croise à la porte d’Amiens, un mendiant nu grelottant. Il coupe en deux son manteau et en donne la moitié au mendiant.
La nuit suivante, dans son sommeil, Martin voit le Christ revêtu de la moitié du manteau donné au pauvre et décide de se faire baptiser ».
Cette histoire nous rappelle le passage du livre de Matthieu 25,40:
« Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».
Les intentions de prière ont été rédigées et lues par les paroissiens
La messe finie, en route vers le chemin de croix.
Toutes les tranches d’âge étaient représentées